Il est sans aucune comparaison possible avec son homologue, le Floppy.

La première différence, et non la moindre, qui m'a laissé coi, c'est sa souplesse ! Là où le Floppy demandait de forcer pour tourner une face, nécessitant de déformer légèrement le plastique des faces centrales, le Super Floppy ne demande aucun effort : c'est souple, fluide, tout tourne à merveille !

La mécanique est évidemment différente puisque l'autre grande différence se comprend assez bien sur les photos suivantes :
 

      

C'est vraiment cette déformation possible du casse-tête initial qui est amusante. Bon, reconnaissons tout de même que cela n'en fait pas pour autant un défi supplémentaire. Le Super Floppy est et restera toujours un casse-tête simple à résoudre.

Je dirai même qu'un détail du mécanisme fait qu'il est plus simple à résoudre qu'un Floppy classique. En effet, il est possible d'orienter séparément les arêtes, ce qui n'était possible sur un Floppy qu'en appliquant une petite passe de six mouvements... Là, il suffit d'isoler cette arête et de la tourner seule puisque le mécanisme rend possible cette manipulation. C'est presque dommage, il aurait été souhaitable que ce mouvement reste impossible ; ça aurait bien corsé l'affaire !

Enfin, bon, ce n'est pas grave, cela reste un casse-tête très amusant qu'il est toujours possible de résoudre pour s'amuser ou passer le temps, et qu'on peut proposer à quelqu'un qui ne connaît rien aux Rubik's cubes et ses dérivés.